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  • Photo du rédacteurNecromongers

Lâcher pour contre.

A ne pas douter

Plus que de mesure, laisser les aigreurs s’étendre.

Les odeurs n’ont rien pour elles

Le monde entier se meure d’envier l’impossible.

Le choc des civils en action

L’émeute des villes garde le son des barricades en cercle.

Il n’est rien qui puisse

Et personne ne doute de la véracité du mensonge.

J’accuse les bonnes œuvres

Et quelques similitudes longitudinales existentielles.

A plat ventre les cœurs

Pour tout un tas de lenteurs industrielles exaltantes.

Laissez les choses se morceler

Aucun indicateur ne laisse présager le meilleur du pire.

On peut rêver de force

Négocier les remèdes n’endigue pas la raison.

Priez pour nous pauvre prêcheur

La fin n’est rien, l’avenir sait mourir.

Les phrases suintent

Elles sont l’origine qui gronde la mystification du monde.

Une fois n’est pas coutume

Combien d’autres naissances y ont cru ?

Vérité je te vois nue

Promets-moi d’être habillée quand il fera froid dans mon jugement.

Le feu nous tuera

J’éteindrai à la source la gueule des flammes jouissives.

Nos pas seront lents

Ce qu’ils voudront dire ne nous emmènera pas aussi loin que ce qui n’était pas prévu.

Nous devons nous reconfigurer

Livrer le monde à des batailles non conformes, des guerres silencieuses.

Re-magnifier nos directives

Ne rien laisser paraître, même temporairement, sans paraître à délaisser.

Il faut [définitivement] survivre

Jusqu’à la fin des temps, et pour toute la durée de son règne lancinant.


©Necromongers




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