Lâcher pour contre.
- Necromongers
- 10 oct. 2019
- 1 min de lecture
A ne pas douter
Plus que de mesure, laisser les aigreurs s’étendre.
Les odeurs n’ont rien pour elles
Le monde entier se meure d’envier l’impossible.
Le choc des civils en action
L’émeute des villes garde le son des barricades en cercle.
Il n’est rien qui puisse
Et personne ne doute de la véracité du mensonge.
J’accuse les bonnes œuvres
Et quelques similitudes longitudinales existentielles.
A plat ventre les cœurs
Pour tout un tas de lenteurs industrielles exaltantes.
Laissez les choses se morceler
Aucun indicateur ne laisse présager le meilleur du pire.
On peut rêver de force
Négocier les remèdes n’endigue pas la raison.
Priez pour nous pauvre prêcheur
La fin n’est rien, l’avenir sait mourir.
Les phrases suintent
Elles sont l’origine qui gronde la mystification du monde.
Une fois n’est pas coutume
Combien d’autres naissances y ont cru ?
Vérité je te vois nue
Promets-moi d’être habillée quand il fera froid dans mon jugement.
Le feu nous tuera
J’éteindrai à la source la gueule des flammes jouissives.
Nos pas seront lents
Ce qu’ils voudront dire ne nous emmènera pas aussi loin que ce qui n’était pas prévu.
Nous devons nous reconfigurer
Livrer le monde à des batailles non conformes, des guerres silencieuses.
Re-magnifier nos directives
Ne rien laisser paraître, même temporairement, sans paraître à délaisser.
Il faut [définitivement] survivre
Jusqu’à la fin des temps, et pour toute la durée de son règne lancinant.
©Necromongers

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